Si tu as loupé cette vidéo (on ne sait jamais), voici Dennis et Valerio, les présentateurs d’une émission néerlandaise appelée Proefkonijnen (en d’autres mots cobayes).
Ils ont reçu deux heures durant (un peu moins pour Mr Bonnet qui a abandonné avant la fin) des décharges électriques simulant les contractions lors du travail précédant l’accouchement. Tu noteras qu’ils y vont la fleur au fusil mais je pense qu’on ne les y reprendra plus 🙂
C’est un peu long, donc si tu es pressé, commence vers la 4ème minute ! Puis aie une pensée émue pour ta femme, ta soeur, ta voisine qui, elles, ont vécu ça pour de vrai (pas juste 2 petites heures, quoi) ! Tu vois, chéri, c’est pas forcément parce que j’accouche dans la salle-de-bain que j’ai pas maaaaaaal !!
Tu remarqueras que la première électrode semble déjà être super insurmontable et l’un s’empresse de demander ce que ça représente par rapport à la douleur maximale (2 à 3% mon grand ! Allez, ça va aller, tu vas voir).
Ken, ça le fait globalement marrer mais tu sens bien le rire jaune, quand-même. Mr Bonnet, lui, a l’air de vivre le martyre et finit par quitter le navire, laissant son camarade finir l’accouchement à sa place (ha ben évidemment, si c’était aussi simple dans la vraie vie ! Chéri, tu prends la relève pour les dernières poussées, ça va?!).
La phrase à retenir côté sage-femme : “Ne combats pas la douleur, accepte-la”.
La phrase à retenir côté mâle : “Je sais plus trop si j’oserai encore mettre ma femme enceinte, maintenant !”. En voilà un qui est lucide !
Pour voir les sous-titres en English sous la vidéo, tu cliques sur transcription (même ligne que “j’aime”, “à propos de”, “partager”, …) et hop, tu comprends tout de suite mieux si tu n’es pas un habitué de la langue de Vondel !
2 Comments
Florence
25 January 2013 at 9 h 22 minJ’ai du mal à croire qu’on puisse vraiment recréer la sensation exacte d’une contraction mais ça me fait toujours marrer de voir où se situe le seuil de tolérance à la douleur des mecs : en dessous de zéro! Quelle bande de mauviettes :)))
Melo
25 January 2013 at 22 h 37 minUn peu comme le fait qu’ils soient au bord de la mort dès que leur nez coule, alors que nous, même avec 40 de fièvre, on continue à bosser sur tous les fronts… c’est une question de chromosomes, tout ça, ils n’en peuvent rien 😉