Hormis le fait que tout cela alimente mon blog, je me demande quand-même ce que j’ai fait au bon Dieu pour jouer d’autant de malchance en matière de femme de ménache 🙁

Nous en étions restés à l’histoire de la vitre du four et à ma quête d’une x-ième société digne de ce nom (j’ai arrêté de les compter après 3 !).

Je n’ai donc pas trouvé la perle des sociétés, il faut bien avouer que je ne me faisais plus d’illusions mais la poussière s’amoncelant, il a bien fallu que je prenne ce qui s’offrait à moi.  Le premier contact avec M (comme Méga-chieuse) ne fut d’ailleurs pas super bon, la nana soupirant d’entrée de jeu devant la quantité de boulot.  Au bout de quelques temps, je lui proposais donc une heure de plus mais lui demandant en contre-partie que le travail soit mieux fait… cette heure supplémentaire n’ayant rien amélioré et la dame tirant de plus en plus la tronche, j’ai décidé de m’en séparer.  J’en étais carrément arrivée à flipper de la voir, la veille je prenais 2 heures pour tout ranger afin d’être sûre qu’elle ne râle pas devant une table pas assez bien rangée à son goût ou une manne à linge remplie dans la sdb.  Finir chez le psy pour ma femme de ménage, y avait quand-même des limites !

Bref, dès que la société l’a mise au courant, elle m’a téléphoné, c’te cruche, pour me demander une explication… euh? Cocotte, tu crois pas que c’est dans le sens inverse que ça fonctionne, normalement? (s’exclame la grosse bourge qui ne se permettrait jamais de demander des comptes à sa boss).  Je n’ai pas décroché et l’ai laissée râler toute seule sur ma messagerie.

Clap 551 ce jeudi certainement, puisqu’elle viendra une dernière fois avant que l’agence ne me trouve une remplaçante… si ça se trouve, elle va en profiter pour se venger en cassant l’un ou l’autre truc (enfin ça, il n’a pas fallu attendre que je la vire pour qu’elle le fasse car dès le premier jour elle me foutait une lampe en l’air… j’y avais d’ailleurs vu un signe !) ou en récurant les chiottes avec ma brosse à dents, va-t’en savoir !